Un article inique, injuste, mensonger et basé sur un seul son de cloche crache sur une société qui, pourtant, fait la fierté de la province de la Tshopo avec des conséquences très positives sur le plan national via les taxes et impôts versés au trésor public.

www.farmlandgrand.org, un site internet peu connu en province de la Tshopo est utilisé par une ONG aussi inconnue dans cette partie de la République, RIAO-RDC pour ne pas la citer, pour nuire injustement et sans gêne, à la société PHC en tentant de l’opposer inutilement à la population riveraine, à la population de la Tshopo, aux autorités nationales et au peuple du monde. 

Une ONG dite de Droit de l’Homme qui s’illustre honteusement dans l’élaboration d’un rapport basé sur les rumeurs et surtout en usant des images d’illustration ne représentant pas les graves accusations imputées à la société, bien qu’issues des opérations : Intention de nuire. Ce qui énerve ainsi l’éthique et la déontologie du journaliste congolais, violant ainsi les exigences de la liberté d’expression qui sont loin de cautionner la diffamation, la désinformation, l’intox, l’imputation dommageable et l’incitation à la haine. 

Cette éthique est également celle des véritables promoteurs et défenseurs des droits de l’homme.

Un rapport dont les motivations ne sont pas à chercher loin car ça saute aux yeux des avertis qu’il s’agit là de l’œuvre des détracteurs de la société PHC, qui pourtant, se distingue dans le respect des clauses de cahier de charge avec la communauté riveraine et s’acquitte librement et sans désemparé, des obligations fiscales et parafiscales dans la perspective de participer à la matérialisation des visions  » le peuple d’abord  » initiée par le Président de la République et « Tshopo il faut ebonga » initiée par la Gouverneure de la province de la Tshopo Maître Madeleine Nikomba Sabangu.

Cette ONG, d’obédience obscure cherche à tout prix à mettre mal aux points la PHC, alors qu’elle sait pertinemment bien que l’État Congolais en est Actionnaire. Et donc, elle a certainement affaire avec le gouvernement de la République et provincial hormis la société PHC.

Si pareille ONG qui prétend défendre les intérêts de la population devrait prendre en compte ce que fait la société en faveur des oeuvrés que de répondre aux appels des gens qui nuisent aux intérêts de la République, on la saurait gré.

Force est de constater avec amertume que cette ONG d’origine mercantiliste s’arroge le luxe de publier des photos non-connues et les mettre à la place publique pour exposer l’Etat Congolais au mépris du monde.

C’est une façon directe de jeter un discrédit au régime en place, aux Institutions de l’État et manquer de considération aux populations riveraines. 

Par exemple, l’article met en avant une grave et fausse information contre les forces publiques de la province de la Tshopo, disant qu’en mi-septembtre 2022, un contingent lourdement armé de 100 membres de la police nationale et des FARDC est arrivé pour faire respecter une interdiction de possession d’huile de palme au sein des communautés, prétendument ordonnée par la PHC. L’article accuse en outre les forces de sécurité de pénétrer de force dans les habitations locales, de procéder à des arrestations arbitraires, de détruire leurs biens et leurs maisons et de commettre de nombreuses autres violations des droits de l’homme. Pourtant, faux et archi faux.

Cette accusation voudrait faire croire aux lecteurs qu’il n’y a pas d’Etat de droit dans la province de Tshopo, et que des sociétés privées peuvent dicter la loi et commander la police sans aucun contrôle ou implication du gouvernement provincial, pourtant, cette mission a été effectuée sur ordre des autorités publiques suite à une réunion entre la PHC, les membres des communautés, les chefs de groupement et les chefs de village ainsi que les autorités politiques et administratives de Basoko et Yahuma, réunion au cours de laquelle, les représentants de la communauté ont critiqué l’inaction des autorités publiques qui laissaient les délinquants violents s’installer et opérer librement dans la région et voler massivement dans les plantations de PHC.

Pour répondre à ces préoccupations et restaurer l’autorité de l’État, la police locale de Basoko a reçu l’ordre de démanteler les camps illégaux situés dans et autour de la plantation. C’est ainsi qu’une équipe de plus de 20 policiers a donc mené une opération de police. Au cours de l’opération, les forces publiques de la province de la Tshopo ont pleinement respecté la procédure et n’ont commis aucune violation des droits de l’homme. C’est plutôt les forces publiques de la province de la Tshopo qui ont été attaquées par la population avec des armes à feu et agressées avec des machettes et des bâtons. En réponse, la police a procédé à l’arrestation des agresseurs, sans détruire de biens ni causer d’autres dommages.

L’article fait également référence à des incidents qui n’ont jamais eu lieu. Se basant uniquement sur le témoignage anecdotique d’un certain M. Alphonse Mongulu, par exemple, l’article allègue qu’au milieu de la nuit du 24 septembre 2022, un contingent de policiers nationaux armés, de soldats, de gardes de sécurité de PHC et de gardes de la société de sécurité privée G4S est arrivé dans l’enceinte de M. Mongulu à bord de trois camions de PHC, et a procédé à l’arrestation de cinq personnes en tirant des coups de feu. L’article prétend également que les cinq personnes ont été battues et transportées pendant la nuit à la prison centrale de Kisangani, que des faussetés.

D’autre part, le directeur de la sécurité de la PHC explique qu’il n’y a jamais eu d’opération ni de la part de la police ni des GI à Lokutu ou ailleurs le 24/9/2022.  La police nationale n’a commencé à opérer qu’après la réunion susmentionnée, le 22 octobre 2022. En outre, selon la procédure établie par les forces de l’ordre, toutes les personnes interrogées par la police sont transmises au parquet de Yangambi pour instruction, et non à la prison centrale de Kisangani.

De ce fait, nous mettons en garde cette Association qui s’apparente à une ONG et lui fait savoir que la RDC et la Tshopo ne sont pas des terrains conquis de ces genres d’Organisations et appelons les Investisseurs à venir y travailler pour l’émergence de notre pays.

Il est important de noter qu’en plus de payer des taxes et impôts, PHC fournit également le plus grand nombre d’emplois dans la province de la Tshopo (plus de 3.500 emplois). Ce média en ligne accuse faussement la PHC d’avoir des travailleurs journaliers alors qu’en vérité la PHC a mis fin à cette pratique en juillet 2021. Aujourd’hui, tous les employés de la PHC ont des contrats et bénéficient d’avantages importants dont les soins de santé et les indemnités de transport.

Toutes les fausses allégations et informations erronées de la part d’une ONG dite de Droit de l’homme ont été remises expressément à ce site web avec l’intention de nuire non seulement aux PHC, mais aussi à la réputation de la province de Tshopo.

Ce qu’il faut préciser est que RIAO n’est ni une entité journalistique ni moins une maison de presse pour commencer à se substituer ainsi en lieu et place de ce que l’on attendrait comme rôle de la part d’une ONG de droits de l’homme.

 *Quid de la province de la Tshopo ?* 

Il y a lieu, en effet, d’encourager et de féliciter le gouvernement provincial qui n’a pas hésiter de déployer les forces de l’ordre pour restaurer l’autorité de l’État là où le désordre voulait s’installer. Ainsi, il faut noter que la province de la Tshopo se retrouve dans les actions de l’entreprise sur plusieurs plans, notamment éducationnel, sanitaire, infranstructurel ainsi que social en donnant du travail à des milliers de congolais dans cette partie du pays. Pour cela, il est impensable que le gouvernement provincial reste indifférent face à ses actes qui tendent à décourager ce gigantesque investissement. Le mieux à faire était le déploiement de ces forces pour remettre de l’ordre et non tel que peint par l’ONG RIAO-RDC.

PRESSE DU GOUVERNORAT